Poisson-chat
Ameiurus melas (Rafinesque, 1820)
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- 44 observations
-
15
territoires -
11
observateurs
11
organismes -
Première observation
1989 -
Dernière observation
2019
Communes :
Basse-Goulaine
-
Bouaye
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Brains
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Carquefou
-
La Chapelle-sur-Erdre
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Le Pellerin
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Nantes
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Orvault
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Saint-Herblain
-
Saint-Jean-de-Boiseau
-
Saint-Sébastien-sur-Loire
-
Sautron
-
Thouaré-sur-Loire
-
Vertou
EPCI :
Nantes Métropole
Aelb-afb
-
Aquabio
-
Asconit
-
Bretagne Vivante
-
Ecolab/logrami
-
Faune Pays-de-la-loire
-
Fdppma44
-
Ofb
-
Sce
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Sogreah
-
Université De Rennes
-
FDPPMA44
Participation à 25 Observations
Part d'aide à la prospection : 56.82 %Fiche organisme
-
Université de Rennes
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 6.82 %Fiche organisme
-
SCE
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 6.82 %Fiche organisme
-
OFB
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 6.82 %Fiche organisme
-
LPO 44, Bretagne Vivante, GNLA
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 4.55 %Fiche organisme
-
AELB-AFB
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 4.55 %Fiche organisme
-
ECOLAB/LOGRAMI
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 4.55 %Fiche organisme
-
SOGREAH
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 2.27 %Fiche organisme
-
Aquabio
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 2.27 %Fiche organisme
-
ASCONIT
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 2.27 %Fiche organisme
-
Bretagne Vivante
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 2.27 %Fiche organisme
Informations espèce
Taille/poids :
Cette espèce mesure généralement de 15 à 20 cm, mais peut atteindre 45 cm maximum pour un poids de 2 kg.
Diagnose :
Le poisson-chat est un poisson sans écaille, à peau nue et visqueuse. Il a une grosse tête aplatie, une très large bouche avec de grosses lèvres et 8 barbillons (2 paires mandibulaires et 2 paires maxillaires). Ses nageoires pectorales ainsi que la nageoire dorsale possèdent un aiguillon piquant. Il présente également une courte nageoire. Son dos brun est presque noir ou brun verdâtre, les flancs plus clairs, le ventre blanc jaunâtre.
Détermination et espèces proches:
L'identification de l'espèce est simple. L'éventuelle espèce avec laquelle il peut être confondu est le Silurus glanis Linnaeus, 1758. Mais il se distingue très facilement par la présence de 8 barbillons (vs. 6), la présence d'une nageoire adipeuse (vs. absente de nageoire adipeuse), et une nageoire anale courte (vs. longue).
Période d'observation :
En hiver, le poisson-chat s'enfouit dans la vase pour résister au froid quand l'eau descend en dessous de 14°C.
Biologie-éthologie :
Le poisson-chat atteint sa maturité sexuelle vers deux ou trois ans et ne se reproduit que dans une eau d'au moins 18°C. La reproduction a lieu en mai-juin, en eau peu profonde, très près du bord. La femelle dépose jusqu'à 5 000 œufs dans un nid préparé par le couple géniteur en éliminant les herbes du fond. Mâle et femelle défendent ensuite l'accès jusqu'à l'éclosion des alevins (l'incubation dure dix jours) et surveillent encore quelques jours. Ils se multiplient très vite. Les alevins restent groupés en boule caractéristique pendant plusieurs semaines. Sa durée de vie est de 6 à 7 ans. Cette espèce a une forte résistance à la température élevée, à la sécheresse, et aux eaux pauvres en oxygène. De mœurs nocturnes, c'est une espèce omnivore qui se nourrit d'alimentation végétale ou animale (benthos, larves, vers, œufs de poissons, alevins, et poissons).
Biogéographie et écologie :
Originaire d'Amérique du Nord, cette espèce a été introduite en France accidentellement en 1871 où il s'est répandu presque partout. Aujourd'hui, sa présence est devenue beaucoup plus discrète. Il affectionne les eaux calmes ou peu courantes se réchauffant l'été, mais domine surtout dans les plans d'eau stagnants peu profonds, étangs ou mares. Poisson vorace, le poisson-chat figure dans la liste des espèces susceptibles de provoquer des déséquilibres biologiques (art. R432-5 du Code de l'Environnement).
Interactions avec les activités humaines :
Bien que limitée, cette espèce a un intérêt pour la pêche récréative mais surtout commerciale avec l'aquaculture.
Cette espèce mesure généralement de 15 à 20 cm, mais peut atteindre 45 cm maximum pour un poids de 2 kg.
Diagnose :
Le poisson-chat est un poisson sans écaille, à peau nue et visqueuse. Il a une grosse tête aplatie, une très large bouche avec de grosses lèvres et 8 barbillons (2 paires mandibulaires et 2 paires maxillaires). Ses nageoires pectorales ainsi que la nageoire dorsale possèdent un aiguillon piquant. Il présente également une courte nageoire. Son dos brun est presque noir ou brun verdâtre, les flancs plus clairs, le ventre blanc jaunâtre.
Détermination et espèces proches:
L'identification de l'espèce est simple. L'éventuelle espèce avec laquelle il peut être confondu est le Silurus glanis Linnaeus, 1758. Mais il se distingue très facilement par la présence de 8 barbillons (vs. 6), la présence d'une nageoire adipeuse (vs. absente de nageoire adipeuse), et une nageoire anale courte (vs. longue).
Période d'observation :
En hiver, le poisson-chat s'enfouit dans la vase pour résister au froid quand l'eau descend en dessous de 14°C.
Biologie-éthologie :
Le poisson-chat atteint sa maturité sexuelle vers deux ou trois ans et ne se reproduit que dans une eau d'au moins 18°C. La reproduction a lieu en mai-juin, en eau peu profonde, très près du bord. La femelle dépose jusqu'à 5 000 œufs dans un nid préparé par le couple géniteur en éliminant les herbes du fond. Mâle et femelle défendent ensuite l'accès jusqu'à l'éclosion des alevins (l'incubation dure dix jours) et surveillent encore quelques jours. Ils se multiplient très vite. Les alevins restent groupés en boule caractéristique pendant plusieurs semaines. Sa durée de vie est de 6 à 7 ans. Cette espèce a une forte résistance à la température élevée, à la sécheresse, et aux eaux pauvres en oxygène. De mœurs nocturnes, c'est une espèce omnivore qui se nourrit d'alimentation végétale ou animale (benthos, larves, vers, œufs de poissons, alevins, et poissons).
Biogéographie et écologie :
Originaire d'Amérique du Nord, cette espèce a été introduite en France accidentellement en 1871 où il s'est répandu presque partout. Aujourd'hui, sa présence est devenue beaucoup plus discrète. Il affectionne les eaux calmes ou peu courantes se réchauffant l'été, mais domine surtout dans les plans d'eau stagnants peu profonds, étangs ou mares. Poisson vorace, le poisson-chat figure dans la liste des espèces susceptibles de provoquer des déséquilibres biologiques (art. R432-5 du Code de l'Environnement).
Interactions avec les activités humaines :
Bien que limitée, cette espèce a un intérêt pour la pêche récréative mais surtout commerciale avec l'aquaculture.
Non renseigné pour le moment
Non renseigné pour le moment
Ameiurus nebulosus auct. non (Lesueur, 1819)
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Amiurus brachyacanthus Cope, 1880
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Amiurus cragini Gilbert, 1884
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Amiurus obesus Gill, 1861
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Ictalurus melas (Rafinesque, 1820)
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Ictalurus nebulosus auct. non (Lesueur, 1819)
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Pimelodus catulus Girard, 1858
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Pimelodus confinis Girard, 1859
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Pimelodus cupreoides Girard, 1859
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Silurus melas Rafinesque, 1820