Classe :
Actinopterygii
Ordre :
Cypriniformes
Famille :
Cyprinidae
Sous-Famille :
Cyprininae
Genre :
Carassius
Chargement...
- 19 observations
-
10
territoires -
7
observateurs
6
organismes -
Première observation
2004 -
Dernière observation
2025
Communes :
Basse-Goulaine
-
Bouguenais
-
Le Pellerin
-
Nantes
-
Orvault
-
Sainte-Luce-sur-Loire
-
Saint-Herblain
-
Sautron
-
Thouaré-sur-Loire
EPCI :
Nantes Métropole
Aelb-afb
-
Aquascop
-
Cen
-
Fdppma44
-
Fish-pass
-
Sarl Rive
-
Université De Rennes
-
FDPPMA44
Participation à 6 Observations
Part d'aide à la prospection : 31.58 %Fiche organisme
-
Université de Rennes
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 10.53 %Fiche organisme
-
SARL RIVE
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 10.53 %Fiche organisme
-
AQUASCOP
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 5.26 %Fiche organisme
-
Fish-Pass
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 5.26 %Fiche organisme
-
AELB-AFB
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 5.26 %Fiche organisme
Informations espèce
Taille/poids :
Cette espèce mesure généralement de 20 à 35 cm pour 1 kg.
Diagnose :
Le Carassin commun a une grosse tête, une bouche terminale sans barbillon, une longue nageoire dorsale convexe armée d'un rayon dur et denté. Son péritoine est clair. Il possède six à sept rayons mous à la nageoire anale, et 12 à 15 rayons mous aux nageoires pectorales. Les juvéniles sont identifiables par la présence d'une tache noire sur le pédoncule caudal.
Détermination et espèces proches:
L'identification précise de l'espèce est très difficile car elle est souvent confondue avec le Carassin argenté Carassius gibelio (Bloch, 1782). Cette espèce se distingue de cette dernière par la présence de six à sept rayons mous à la nageoire anale (vs. Cinq-six), et 12 à 15 rayons mous aux nageoires pectorales (vs. 14-17), ainsi qu'un péritoine clair (vs. noir). Comme tout carassin, il se distingue de la Carpe commune Cyprinus carpio Linnaeus, 1758 par l'absence de barbillon autour de la bouche (vs. quatre).
Période d'observation :
Le Carassin commun peut se mettre en léthargie durant les saisons sèches et l'hiver.
Biologie-éthologie :
La reproduction qui est multiple, a lieu en mai-juin quand l'eau dépasse les 18°C. Les femelles pondent entre 30 000 et 80 000 œufs et mesurent entre 1,3 à 1,7 mm par ponte. Sa croissance est lente. Il résiste remarquablement à l'absence d'oxygène et au gel grâce à un système de métabolisme anaérobie. Cette espèce se nourrit essentiellement de plancton, d'invertébrés benthiques, de matière organique végétale et de détritus.
Biogéographie et écologie :
Originaire d'Europe de l'Est, le carassin commun a été introduit au XVIIème siècle en Lorraine avant de se répandre. Il vit préférentiellement dans les eaux calmes des étangs et bras morts des cours d'eau.
Interactions avec les activités humaines :
Le Carassin commun a un très fort intérêt commercial pour les pêcheries, et à un degré moindre pour l'aquariophilie, l'aquaculture et la pêche récréative (comme espèce ciblée ou vendue comme vif).
Cette espèce mesure généralement de 20 à 35 cm pour 1 kg.
Diagnose :
Le Carassin commun a une grosse tête, une bouche terminale sans barbillon, une longue nageoire dorsale convexe armée d'un rayon dur et denté. Son péritoine est clair. Il possède six à sept rayons mous à la nageoire anale, et 12 à 15 rayons mous aux nageoires pectorales. Les juvéniles sont identifiables par la présence d'une tache noire sur le pédoncule caudal.
Détermination et espèces proches:
L'identification précise de l'espèce est très difficile car elle est souvent confondue avec le Carassin argenté Carassius gibelio (Bloch, 1782). Cette espèce se distingue de cette dernière par la présence de six à sept rayons mous à la nageoire anale (vs. Cinq-six), et 12 à 15 rayons mous aux nageoires pectorales (vs. 14-17), ainsi qu'un péritoine clair (vs. noir). Comme tout carassin, il se distingue de la Carpe commune Cyprinus carpio Linnaeus, 1758 par l'absence de barbillon autour de la bouche (vs. quatre).
Période d'observation :
Le Carassin commun peut se mettre en léthargie durant les saisons sèches et l'hiver.
Biologie-éthologie :
La reproduction qui est multiple, a lieu en mai-juin quand l'eau dépasse les 18°C. Les femelles pondent entre 30 000 et 80 000 œufs et mesurent entre 1,3 à 1,7 mm par ponte. Sa croissance est lente. Il résiste remarquablement à l'absence d'oxygène et au gel grâce à un système de métabolisme anaérobie. Cette espèce se nourrit essentiellement de plancton, d'invertébrés benthiques, de matière organique végétale et de détritus.
Biogéographie et écologie :
Originaire d'Europe de l'Est, le carassin commun a été introduit au XVIIème siècle en Lorraine avant de se répandre. Il vit préférentiellement dans les eaux calmes des étangs et bras morts des cours d'eau.
Interactions avec les activités humaines :
Le Carassin commun a un très fort intérêt commercial pour les pêcheries, et à un degré moindre pour l'aquariophilie, l'aquaculture et la pêche récréative (comme espèce ciblée ou vendue comme vif).
Non renseigné pour le moment
Non renseigné pour le moment
Carassius carassius carassius (Linnaeus, 1758)
|
Carassius carassius jacuticus Kirillov, 1956
|
Carassius charax (Lesniewski, 1837)
|
Carassius gibelio minutus (Kessler, 1856)
|
Carassius humilis Heckel, 1837
|
Carassius linnaei Bonaparte, 1845
|
Carassius linnei Malm, 1877
|
Carassius linnei lacustrus Malm, 1877
|
Carassius linnei piscinarum Malm, 1877
|
Carassius moles Nordmann, 1840
|
Carassius oblongus Heckel & Kner, 1858
|
Carassius vulgaris Nordmann, 1840
|
Carassius vulgaris var. gibbosus Walecki, 1863
|
Carassius vulgaris var. subventrosus Walecki, 1863
|
Carassius vulgarus crassior Walecki, 1889
|
Cyprinus carassius Linnaeus, 1758
|
Cyprinus charax Lesniewski, 1837
|
Cyprinus gibelio var. minutus Kessler, 1856
|
Cyprinus moles Agassiz, 1835
|
Cyprinus moles Selys-Longchamps, 1842
|
Cyprinus moles Valenciennes in Cuvier & Valenciennes, 1842