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- 957 observations
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24
territoires -
10
observateurs
9
organismes -
Première observation
2009 -
Dernière observation
2025
Communes :
Basse-Goulaine
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Bouaye
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Bouguenais
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Brains
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Carquefou
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Couëron
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Indre
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La Chapelle-sur-Erdre
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Le Pellerin
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Les Sorinières
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Mauves-sur-Loire
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Nantes
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Orvault
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Rezé
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Saint-Aignan-Grandlieu
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Sainte-Luce-sur-Loire
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Saint-Herblain
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Saint-Jean-de-Boiseau
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Saint-Léger-les-Vignes
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Saint-Sébastien-sur-Loire
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Sautron
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Thouaré-sur-Loire
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Vertou
EPCI :
Nantes Métropole
Bretagne Vivante
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Cen
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Faune Pays-de-la-loire
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Gmb
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Gonm
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Groupe Mammalogique Breton
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Hardy Environnement
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Nantes Métropole
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Ofb
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Thema
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LPO 44, Bretagne Vivante, GNLA
Participation à 531 Observations
Part d'aide à la prospection : 55.49 %Fiche organisme
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Groupe Mammalogique Breton
Participation à 186 Observations
Part d'aide à la prospection : 19.44 %Fiche organisme
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Bretagne Vivante
Participation à 175 Observations
Part d'aide à la prospection : 18.29 %Fiche organisme
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GMB
Participation à 28 Observations
Part d'aide à la prospection : 2.93 %Fiche organisme
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OFB
Participation à 13 Observations
Part d'aide à la prospection : 1.36 %Fiche organisme
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Thema
Participation à 7 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.73 %Fiche organisme
-
Nantes Métropole
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.42 %Fiche organisme
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Hardy Environnement
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.42 %Fiche organisme
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GONm
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.21 %Fiche organisme
Informations espèce
Taille :
Poids :
4-10 kg.
Diagnose :
Détermination :
Moyennement difficile.
Espèces proches :
Période d'observation :
Biologie-éthologie :
Biogéographie et écologie :
Interactions avec les activités humaines :
Référence bibliographique :
Haffner P. & Savouré-Soubelet A. 2015. Sur la piste des Mammifères sauvages. Coll. L'amateur de la Nature. Dunod, Paris. 208 pp.
36-65 cm, plus 24-45 cm de queue.
Poids :
4-10 kg.
Diagnose :
Rongeur de grande taille, à la silhouette trapue et bossue. La tête, massive et anguleuse, se termine par un museau court, portant de grosses moustaches blanches, dont l'extrémité est blanche. Ces incisives, oranges, sont facilement visibles et permettent d'identifier l'espèce sans difficulté. Sa queue est cylindrique, longue et écailleuse. Quatre des cinq doigts des pattes postérieures sont reliés par une palmure. Le pelage varie du brun au brun roussâtre sur le dos et est plus clair sur le ventre. Il compte 20 dents : I1/1, C0/0, PM1/1, M3/3.
Détermination :
Moyennement difficile.
Espèces proches :
Lorsqu'on l'observe de loin, on peut le confondre avec le Rat musqué Ondatra zibethicus qui est beaucoup plus petit et a un museau arrondi et une queue comprimée latéralement. Dans l'eau, il ressemble un peu au Castor d'Europe Castor fiber qui est plus gros et qui a une queue plate et pas de blanc au niveau du museau. La Loutre d'Europe Lutra lutra est beaucoup plus grosse et a une queue massive, poilue et terminée en pointe.
Période d'observation :
Observable toute l'année, le jour et la nuit, à proximité d'un point d'eau.
Biologie-éthologie :
Le Ragondin peut se reproduire toute l'année. La femelle met bas, après 132 jours de gestation, de 5 jeunes environ. Elle peut mettre bas 2 fois par an, tous les 4-5 mois. Passant beaucoup de temps dans l'eau, les mamelles des femelles se trouvent, non pas sur le ventre, mais au niveau des flancs pour que les petits puissent se nourrir dans l'eau. Herbivore, le Ragondin se nourrit de plantes aquatiques. Il gîte dans des terriers qu'il creuse dans les berges couvertes de végétation.
Biogéographie et écologie :
Originaire d'Amérique du sud, il a été introduit en Europe pour sa fourrure. A la suite de lâchers et d'individus échappés d'élevage, le Ragondin a colonisé l'Europe, le Moyen Orient, l'Asie, l'Afrique et l'Amérique du Nord. On le retrouve dans les milieux aquatiques comportant beaucoup de végétation et à faible altitude.
Interactions avec les activités humaines :
En creusant des galeries sur les berges des cours, il fragilise ces zones ce qui peut causer d'importants problèmes sur les divers ouvrages hydrauliques. Il occasionne aussi des dégâts sur les cultures et est porteur de la leptospirose, de la toxoplasmose, de la douve du foie et de l'échinococcose.
Référence bibliographique :
Haffner P. & Savouré-Soubelet A. 2015. Sur la piste des Mammifères sauvages. Coll. L'amateur de la Nature. Dunod, Paris. 208 pp.
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Mus coypus Molina, 1782
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