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- 1 284 observations
-
25
territoires -
11
observateurs
10
organismes -
Première observation
1996 -
Dernière observation
2025
Communes :
Basse-Goulaine
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Bouaye
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Bouguenais
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Brains
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Carquefou
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Couëron
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Indre
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La Chapelle-sur-Erdre
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La Montagne
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Le Pellerin
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Les Sorinières
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Mauves-sur-Loire
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Nantes
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Orvault
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Rezé
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Saint-Aignan-Grandlieu
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Sainte-Luce-sur-Loire
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Saint-Herblain
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Saint-Jean-de-Boiseau
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Saint-Léger-les-Vignes
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Saint-Sébastien-sur-Loire
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Sautron
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Thouaré-sur-Loire
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Vertou
EPCI :
Nantes Métropole
Biotope
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Bretagne Vivante
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Cen
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Faune Pays-de-la-loire
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Gonm
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Indépendant
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Lpo
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Lpo 44
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Nantes Métropole
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Ofb
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Thema
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LPO 44, Bretagne Vivante, GNLA
Participation à 1207 Observations
Part d'aide à la prospection : 94.00 %Fiche organisme
-
LPO
Participation à 42 Observations
Part d'aide à la prospection : 3.27 %Fiche organisme
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Bretagne Vivante
Participation à 20 Observations
Part d'aide à la prospection : 1.56 %Fiche organisme
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GONm
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.23 %Fiche organisme
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OFB
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.23 %Fiche organisme
-
Indépendant
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.16 %Fiche organisme
-
Nantes Métropole
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 0.08 %Fiche organisme
-
LPO France
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 0.08 %Fiche organisme
-
Thema
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 0.08 %Fiche organisme
-
Biotope
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 0.08 %Fiche organisme
Informations espèce
Longueur 18-19 cm, envergure 25-27 cm, poids moyen 18 g.
C'est un oiseau typique des rivières et des ruisseaux, préférentiellement en montagne ou en terrain accidenté mais que l'on peut trouver également en plaine.
La Bergeronnette des ruisseaux se nourrit de larves d'insectes aquatiques, parfois aussi d'insectes volants qu'elle capture au cours de brèves poursuites aériennes.
Migratrice partielle, elle peut être observée en automne ou en hiver en des lieux où elle ne niche pas. La saison de nidification commence dès le mois de mars, au moins pour les populations de plaine, et peut se prolonger jusqu'en juillet ce qui autorise deux voire exceptionnellement trois nichées par an. Le chant du mâle est un gazouillis varié qui peut être émis lors d'un vol nuptial. Le cri le plus courant est un « tsip » aux sonorités plus métalliques que celui de la Bergeronnette grise.
Le nid est édifié sur la berge ou à proximité de l'eau courante, assez régulièrement dans une habitation, un vieux mur ou sous un pont. La ponte comprend 4 à 6 œufs, couvés essentiellement par la femelle. Les oisillons éclosent au bout d'une douzaine de jours, et sont activement nourris par les deux parents. Ils prennent leur envol en moins de deux semaines, mais l'élevage se poursuit ensuite à proximité du nid.
C'est un oiseau typique des rivières et des ruisseaux, préférentiellement en montagne ou en terrain accidenté mais que l'on peut trouver également en plaine.
La Bergeronnette des ruisseaux se nourrit de larves d'insectes aquatiques, parfois aussi d'insectes volants qu'elle capture au cours de brèves poursuites aériennes.
Migratrice partielle, elle peut être observée en automne ou en hiver en des lieux où elle ne niche pas. La saison de nidification commence dès le mois de mars, au moins pour les populations de plaine, et peut se prolonger jusqu'en juillet ce qui autorise deux voire exceptionnellement trois nichées par an. Le chant du mâle est un gazouillis varié qui peut être émis lors d'un vol nuptial. Le cri le plus courant est un « tsip » aux sonorités plus métalliques que celui de la Bergeronnette grise.
Le nid est édifié sur la berge ou à proximité de l'eau courante, assez régulièrement dans une habitation, un vieux mur ou sous un pont. La ponte comprend 4 à 6 œufs, couvés essentiellement par la femelle. Les oisillons éclosent au bout d'une douzaine de jours, et sont activement nourris par les deux parents. Ils prennent leur envol en moins de deux semaines, mais l'élevage se poursuit ensuite à proximité du nid.
Non renseigné pour le moment
Non renseigné pour le moment
Motacilla caspica (Gmelin, 1774)
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Motacilla caspica grisea
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Motacilla cinerea cinerea Tunstall, 1771
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Parus caspicus Gmelin, 1774