Spatule blanche
Platalea leucorodia Linnaeus, 1758
Statuts de conservation
France métropolitaine
- Visiteur : NA
- Hivernant : VU
- Nicheur : NT
Pays de la Loire
- VU
Statuts d'évaluation, de protection et de menace
France métropolitaine
-
NA
Liste rouge nationale (Visiteur) : Non applicable
-
VU
Liste rouge nationale (Hivernant) : Vulnérable
-
NT
Liste rouge nationale (Nicheur) : Quasi menacée
Pays de la Loire
-
VU
Liste rouge régionale : Vulnérable
Pour plus d'informations sur les statuts :
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- 1 129 observations
-
24
territoires -
9
observateurs
8
organismes -
Première observation
1998 -
Dernière observation
2025
Communes :
Basse-Goulaine
-
Bouaye
-
Bouguenais
-
Brains
-
Carquefou
-
Couëron
-
Indre
-
La Chapelle-sur-Erdre
-
La Montagne
-
Le Pellerin
-
Mauves-sur-Loire
-
Nantes
-
Orvault
-
Rezé
-
Saint-Aignan-Grandlieu
-
Sainte-Luce-sur-Loire
-
Saint-Herblain
-
Saint-Jean-de-Boiseau
-
Saint-Léger-les-Vignes
-
Saint-Sébastien-sur-Loire
-
Sautron
-
Thouaré-sur-Loire
-
Vertou
EPCI :
Nantes Métropole
Bretagne Vivante
-
Cen
-
Faune Pays-de-la-loire
-
Gonm
-
Hardy Environnement
-
Indépendant
-
Lpo 44
-
Ofb
-
Thema
-
LPO 44, Bretagne Vivante, GNLA
Participation à 786 Observations
Part d'aide à la prospection : 69.62 %Fiche organisme
-
Bretagne Vivante
Participation à 234 Observations
Part d'aide à la prospection : 20.73 %Fiche organisme
-
LPO
Participation à 58 Observations
Part d'aide à la prospection : 5.14 %Fiche organisme
-
GONm
Participation à 14 Observations
Part d'aide à la prospection : 1.24 %Fiche organisme
-
OFB
Participation à 8 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.71 %Fiche organisme
-
Thema
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.27 %Fiche organisme
-
Hardy Environnement
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.18 %Fiche organisme
-
Indépendant
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 0.09 %Fiche organisme
Informations espèce
Longueur 80-90 cm, envergure 115-130 cm, poids 1-1,7 kg.
L’habitat se localise principalement dans les marais côtiers et les plaines alluviales. Son bec hautement spécialisé incite la Spatule à rechercher les eaux peu profondes aux berges sableuses ou vaseuses. Pour la reproduction, elle préfère les roselières ponctuées de saules où elle construit le nid.
La Spatule blanche se nourrit d’insectes et de leurs larves, de petits poissons, mollusques, crustacés, grenouilles et têtards, ainsi que de reptiles, vers, sangsues et éléments végétaux. Pour s’alimenter, elle maintient le bec à demi enfoncé et balaie l’eau de droite et de gauche, les mandibules légèrement écartées.
L’espèce est grégaire tout au long de l’année (toujours en petits groupes, moins de 100 individus), bien que les spatules ne s’associent pas aux autres échassiers. Les nids sont proches les uns des autres et souvent connectés par des ponts de roseaux et branchages, créés par les appropriations régulières de matériaux dans les nids voisins. Chaque couple ne défend que le nid et ses abords immédiats, mais peut s’associer aux couples voisins pour chasser un intrus. La ponte est généralement synchronisée sur les nids mitoyens. Les parades consistent essentiellement à ériger les plumes de la tête et à relever le bec jusqu’à exposer la peau jaune de la gorge.
Le nid est généralement construit en hauteur, à proximité de l’
L’habitat se localise principalement dans les marais côtiers et les plaines alluviales. Son bec hautement spécialisé incite la Spatule à rechercher les eaux peu profondes aux berges sableuses ou vaseuses. Pour la reproduction, elle préfère les roselières ponctuées de saules où elle construit le nid.
La Spatule blanche se nourrit d’insectes et de leurs larves, de petits poissons, mollusques, crustacés, grenouilles et têtards, ainsi que de reptiles, vers, sangsues et éléments végétaux. Pour s’alimenter, elle maintient le bec à demi enfoncé et balaie l’eau de droite et de gauche, les mandibules légèrement écartées.
L’espèce est grégaire tout au long de l’année (toujours en petits groupes, moins de 100 individus), bien que les spatules ne s’associent pas aux autres échassiers. Les nids sont proches les uns des autres et souvent connectés par des ponts de roseaux et branchages, créés par les appropriations régulières de matériaux dans les nids voisins. Chaque couple ne défend que le nid et ses abords immédiats, mais peut s’associer aux couples voisins pour chasser un intrus. La ponte est généralement synchronisée sur les nids mitoyens. Les parades consistent essentiellement à ériger les plumes de la tête et à relever le bec jusqu’à exposer la peau jaune de la gorge.
Le nid est généralement construit en hauteur, à proximité de l’
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