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- 1 729 observations
-
24
territoires -
14
observateurs
12
organismes -
Première observation
1997 -
Dernière observation
2025
Communes :
Basse-Goulaine
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Bouaye
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Bouguenais
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Brains
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Carquefou
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Couëron
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Indre
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La Chapelle-sur-Erdre
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La Montagne
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Le Pellerin
-
Les Sorinières
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Mauves-sur-Loire
-
Nantes
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Rezé
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Saint-Aignan-Grandlieu
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Sainte-Luce-sur-Loire
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Saint-Herblain
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Saint-Jean-de-Boiseau
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Saint-Léger-les-Vignes
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Saint-Sébastien-sur-Loire
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Sautron
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Thouaré-sur-Loire
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Vertou
EPCI :
Nantes Métropole
Bretagne Vivante
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Cen
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Conservatoire Du Littoral
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Faune Pays-de-la-loire
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Gonm
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Grand-port
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Hardy Environnement
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Indépendant
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Lpo 44
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Nantes Metropole
-
Nantes Métropole
-
Ofb
-
Ssntg
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Thema
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LPO 44, Bretagne Vivante, GNLA
Participation à 1534 Observations
Part d'aide à la prospection : 88.72 %Fiche organisme
-
LPO
Participation à 81 Observations
Part d'aide à la prospection : 4.68 %Fiche organisme
-
OFB
Participation à 47 Observations
Part d'aide à la prospection : 2.72 %Fiche organisme
-
GONm
Participation à 25 Observations
Part d'aide à la prospection : 1.45 %Fiche organisme
-
Bretagne Vivante
Participation à 18 Observations
Part d'aide à la prospection : 1.04 %Fiche organisme
-
Conservatoire du littoral
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.17 %Fiche organisme
-
Indépendant
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.17 %Fiche organisme
-
SSNTG
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.17 %Fiche organisme
-
Hardy Environnement
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.12 %Fiche organisme
-
Nantes Métropole
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 0.06 %Fiche organisme
-
Thema
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 0.06 %Fiche organisme
-
Grand-Port
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 0.06 %Fiche organisme
Informations espèce
Longueur 100-115 cm, envergure 180-200 cm, poids 2,3-4,4 kg.
L’habitat est généralement constitué de milieux ouverts ou buissonnants dans lesquels la nourriture est facilement accessible, soit notamment les milieux prairiaux et les zones humides. Les massifs forestiers sont évités.
La Cigogne blanche se nourrit de vertébrés et invertébrés divers, dont le volume dépasse rarement celui d’une souris. Lors des années sèches, les insectes et petits rongeurs sont recherchés, mais les animaux aquatiques sont préférés lors d’années humides. Sur les sites où les proies sont abondantes (têtards, criquets, etc.), les cigognes peuvent se rassembler en grandes troupes (rarement plus de 100 individus sur le territoire français). Elle peut également fréquenter en nombre les installations de stockage de déchets, notamment en halte migratoire. Dans les quartiers d’hiver africains, d’énormes rassemblements peuvent suivre les vols de criquets. L’espèce est en voie de sédentarisation dans certaines régions.
Normalement, les nicheurs ne s’éloignent que de quelques kilomètres du nid. La Cigogne blanche est grégaire, bien qu’elle niche le plus souvent isolément. Le même couple peut nicher plusieurs saisons de suite sur le même nid. Toutefois, il semble que la fidélité au nid soit plus importante que celle au partenaire. Le mâle, qui revient le premier sur le site, accepte souvent la première femelle qui se présente. La parade, dont l’élément le plus évident est le balancement de la tête d’avant en arrière, s’accompagne de claquements de bec.
Le nid est construit sur des arbres ou tout autre élément érigé, même d’origine anthropique (toits, pylônes, plates-formes artificielles…). Un entassement de branchages constitue la base, la coupe du nid faite de rameaux étant tapissée d’herbe, de chiffons et papiers. Les nids les plus volumineux atteignent 2 m de hauteur pour 2 m de diamètre. L’unique ponte de 3 à 5 œufs est le plus souvent déposée au début d’avril. L’incubation dure 33-34 jours et les jeunes s’envolent à l’âge de 2 mois.
L’habitat est généralement constitué de milieux ouverts ou buissonnants dans lesquels la nourriture est facilement accessible, soit notamment les milieux prairiaux et les zones humides. Les massifs forestiers sont évités.
La Cigogne blanche se nourrit de vertébrés et invertébrés divers, dont le volume dépasse rarement celui d’une souris. Lors des années sèches, les insectes et petits rongeurs sont recherchés, mais les animaux aquatiques sont préférés lors d’années humides. Sur les sites où les proies sont abondantes (têtards, criquets, etc.), les cigognes peuvent se rassembler en grandes troupes (rarement plus de 100 individus sur le territoire français). Elle peut également fréquenter en nombre les installations de stockage de déchets, notamment en halte migratoire. Dans les quartiers d’hiver africains, d’énormes rassemblements peuvent suivre les vols de criquets. L’espèce est en voie de sédentarisation dans certaines régions.
Normalement, les nicheurs ne s’éloignent que de quelques kilomètres du nid. La Cigogne blanche est grégaire, bien qu’elle niche le plus souvent isolément. Le même couple peut nicher plusieurs saisons de suite sur le même nid. Toutefois, il semble que la fidélité au nid soit plus importante que celle au partenaire. Le mâle, qui revient le premier sur le site, accepte souvent la première femelle qui se présente. La parade, dont l’élément le plus évident est le balancement de la tête d’avant en arrière, s’accompagne de claquements de bec.
Le nid est construit sur des arbres ou tout autre élément érigé, même d’origine anthropique (toits, pylônes, plates-formes artificielles…). Un entassement de branchages constitue la base, la coupe du nid faite de rameaux étant tapissée d’herbe, de chiffons et papiers. Les nids les plus volumineux atteignent 2 m de hauteur pour 2 m de diamètre. L’unique ponte de 3 à 5 œufs est le plus souvent déposée au début d’avril. L’incubation dure 33-34 jours et les jeunes s’envolent à l’âge de 2 mois.
Non renseigné pour le moment
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Ardea ciconia Linnaeus, 1758
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