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- 733 observations
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23
territoires -
9
observateurs
8
organismes -
Première observation
1994 -
Dernière observation
2025
Communes :
Basse-Goulaine
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Bouaye
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Bouguenais
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Brains
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Carquefou
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Couëron
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Indre
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La Chapelle-sur-Erdre
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La Montagne
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Le Pellerin
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Mauves-sur-Loire
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Nantes
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Orvault
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Rezé
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Saint-Aignan-Grandlieu
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Sainte-Luce-sur-Loire
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Saint-Herblain
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Saint-Jean-de-Boiseau
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Saint-Léger-les-Vignes
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Saint-Sébastien-sur-Loire
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Thouaré-sur-Loire
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Vertou
EPCI :
Nantes Métropole
Bretagne Vivante
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Cen
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Faune Pays-de-la-loire
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Gonm
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Hardy Environnement
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Indépendant
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Lpo 44
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Ofb
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Thema
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LPO 44, Bretagne Vivante, GNLA
Participation à 541 Observations
Part d'aide à la prospection : 73.81 %Fiche organisme
-
Bretagne Vivante
Participation à 139 Observations
Part d'aide à la prospection : 18.96 %Fiche organisme
-
LPO
Participation à 37 Observations
Part d'aide à la prospection : 5.05 %Fiche organisme
-
GONm
Participation à 7 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.95 %Fiche organisme
-
OFB
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.55 %Fiche organisme
-
Hardy Environnement
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 0.14 %Fiche organisme
-
Indépendant
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 0.14 %Fiche organisme
-
Thema
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 0.14 %Fiche organisme
Informations espèce
Longueur 58-65 cm, envergure 105-112 cm, poids moyen 550-800 g.
Il habite aux abords d’eaux peu profondes, stagnantes ou faiblement courantes. Ses préférences vont vers les larges rivières naturelles bordées de ripisylves, mais il fréquente aussi les marais inondés, les gravières anciennes... Ses nids et ses dortoirs sont dans les arbres. Le Héron bihoreau se nourrit essentiellement d’amphibiens, de poissons et d’insectes. Son mode de chasse est crépusculaire et nocturne. Il pêche en solitaire et défend un territoire alimentaire.
L’espèce niche en colonies parfois importantes (plusieurs centaines de couples), éventuellement en compagnie d’autres Ardéidés. Dans les colonies mixtes, le Bihoreau se répartit en unités denses dans les parties hautes des arbres. Il n’est pas rare d’observer une trentaine de nids dans un seul arbre. Après la reproduction, il est solitaire, sauf en migration et au dortoir.
Le nid est une simple plate-forme de branchettes dont la solidité est très variable. Il est construit dans un arbre ou un arbuste, plus rarement dans une roselière, à au moins 2 m du sol. La ponte de 3 à 5 œufs est déposée à partir de mi-avril. L’incubation dure 3 semaines et les jeunes sont volants à l’âge de 40-50 jours. Dès la 3e semaine, ils quittent le nid et n’y reviennent que pour y être nourris. Les juvéniles peuvent se déplacer librement au sein de la colonie sans provoquer d’hostilité de la part des adultes.
Il habite aux abords d’eaux peu profondes, stagnantes ou faiblement courantes. Ses préférences vont vers les larges rivières naturelles bordées de ripisylves, mais il fréquente aussi les marais inondés, les gravières anciennes... Ses nids et ses dortoirs sont dans les arbres. Le Héron bihoreau se nourrit essentiellement d’amphibiens, de poissons et d’insectes. Son mode de chasse est crépusculaire et nocturne. Il pêche en solitaire et défend un territoire alimentaire.
L’espèce niche en colonies parfois importantes (plusieurs centaines de couples), éventuellement en compagnie d’autres Ardéidés. Dans les colonies mixtes, le Bihoreau se répartit en unités denses dans les parties hautes des arbres. Il n’est pas rare d’observer une trentaine de nids dans un seul arbre. Après la reproduction, il est solitaire, sauf en migration et au dortoir.
Le nid est une simple plate-forme de branchettes dont la solidité est très variable. Il est construit dans un arbre ou un arbuste, plus rarement dans une roselière, à au moins 2 m du sol. La ponte de 3 à 5 œufs est déposée à partir de mi-avril. L’incubation dure 3 semaines et les jeunes sont volants à l’âge de 40-50 jours. Dès la 3e semaine, ils quittent le nid et n’y reviennent que pour y être nourris. Les juvéniles peuvent se déplacer librement au sein de la colonie sans provoquer d’hostilité de la part des adultes.
Non renseigné pour le moment
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Ardea nycticorax Linnaeus, 1758
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