Cétoine punaise, Mini cétoine
Valgus hemipterus (Linnaeus, 1758)
Classe :
Insecta
Ordre :
Coleoptera
Famille :
Scarabaeidae
Sous-Famille :
Cetoniinae
Tribu :
Valgini
Genre :
Valgus
Chargement...
- 14 observations
-
10
territoires -
5
observateurs
5
organismes -
Première observation
1999 -
Dernière observation
2022
Communes :
Brains
-
Carquefou
-
Indre
-
Nantes
-
Orvault
-
Rezé
-
Sainte-Luce-sur-Loire
-
Sautron
-
Vertou
EPCI :
Nantes Métropole
Bretagne Vivante
-
Cpie Loire Anjou
-
Faune Pays-de-la-loire
-
Gretia
-
Indépendant
-
GRETIA
Participation à 7 Observations
Part d'aide à la prospection : 50.00 %Fiche organisme
-
CPIE Loire Anjou
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 28.57 %Fiche organisme
-
Indépendant
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 7.14 %Fiche organisme
-
Bretagne Vivante
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 7.14 %Fiche organisme
-
LPO 44, Bretagne Vivante, GNLA
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 7.14 %Fiche organisme
Informations espèce
Taille : 6 - 10 mm
Diagnose :
C'est la plus petite espèce de cétoine de France. Son corps noir est court et large, ses élytres plans et striés sont recouverts de squamules (écailles) blanches et noires. Le thorax présente un sillon dans l'axe médian, bordé de 2 carènes et les tibias antérieurs ont 5 dents bien visibles sur leur face externe. La femelle possède une tarière rigide à l'extrémité de son abdomen.
C'est la plus petite espèce de cétoine de France. Son corps noir est court et large, ses élytres plans et striés sont recouverts de squamules (écailles) blanches et noires. Le thorax présente un sillon dans l'axe médian, bordé de 2 carènes et les tibias antérieurs ont 5 dents bien visibles sur leur face externe. La femelle possède une tarière rigide à l'extrémité de son abdomen.
Détermination : simple.
Espèces proches :
Pas de confusion possible, les nombreux autres petits coléoptères sombres n'ont pas les antennes lamelliformes ni cette forme anguleuse.
Pas de confusion possible, les nombreux autres petits coléoptères sombres n'ont pas les antennes lamelliformes ni cette forme anguleuse.
Période d'observation :
L'adulte est actif essentiellement d'avril à juillet, avec un pic d'observation en mai.
L'adulte est actif essentiellement d'avril à juillet, avec un pic d'observation en mai.
Biologie-éthologie :
La larve se nourrit de bois carié de divers feuillus (souches et troncs très cariés). Son cycle de développement dure un an. L'adulte est floricole et s'observe facilement en journée sur les inflorescences de diverses plantes (rosacées, ombellifères, etc.). La femelle s'observe surtout sur les bois pourris et plus rarement sur les fleurs.
La larve se nourrit de bois carié de divers feuillus (souches et troncs très cariés). Son cycle de développement dure un an. L'adulte est floricole et s'observe facilement en journée sur les inflorescences de diverses plantes (rosacées, ombellifères, etc.). La femelle s'observe surtout sur les bois pourris et plus rarement sur les fleurs.
Biogéographie et écologie :
Cette espèce occupe toute l'Europe centrale et méridionale, l'Asie mineure et l'Afrique. Espèce généralement très commune.
Cette espèce occupe toute l'Europe centrale et méridionale, l'Asie mineure et l'Afrique. Espèce généralement très commune.
D'après :
PAULIAN, R. & BARAUD, J. 1982. Faune des Coléoptères de France II: Lucanoidea et Scarabaeoidea. Encyclopédie Entomologique XLIII, Lechevalier, Paris, 473 p.
PAULIAN, R. & BARAUD, J. 1982. Faune des Coléoptères de France II: Lucanoidea et Scarabaeoidea. Encyclopédie Entomologique XLIII, Lechevalier, Paris, 473 p.
Non renseigné pour le moment
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Scarabaeus haemipterus Geoffroy in Fourcroy, 1785
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Scarabaeus hemipterus Linnaeus, 1758
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